Jean Paul Richter
Journal intime Genre de texte Contexte Texte témoin
Journal intime
Ce rêve est mémorable précisément parce que l’originalité de Jean-Paul est d’avoir exploré son moi avec sensibilité. Il avait alors 55 ans et mourra sept ans plus tard, en 1825.
Cité et traduit par A. Béguin, L’âme romantique et le rêve, 1939/1967, p. 177.
Un moment mémorable
Le 18 février 1818, je racontai en rêve comment, dans mon enfance, j'avais eu pour la première fois la conscience du moi, sur la porte de la maison, par la contemplation. Je disais: la conscience vient d'un coup.